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Prix de l’eau en 2019: presque un euro d’augmentation?

Edit 23/12 11h20: suite à notre article, le SMGSEVESC nous informe qu’en réalité « une prestation de service a été signée avec Veolia ». Pas d’autre information pour l’instant.

Dans un précédent article, nous vous annoncions que Maurepas allait être alimentée en eau potable par l’usine SUEZ de Flins Aubergenville. En dehors de cette information, aucun des responsables ne communique sur la situation contractuelle à partir du 1er janvier 2019.

Après étude, menée par Maurepas pour tous, il apparait que de toutes les communes voisines, les seules alimentées par cette même usine sont Plaisir et Thiverval-Grignon. On peut donc penser que Maurepas va rejoindre ces deux communes pour la gestion de la distribution de l’eau. Si cela est bien le cas, Maurepas passerait à un tarif de 2,45 euros du m3 TTC pour la distribution (chiffre 2017) contre 1,4925 anciennement (chiffre 2016).

Cette hypothèse est à confirmer. Mais il est étonnant qu’à quelques jours du démarrage du nouveau contrat, aucune information officielle ne filtre. Le site de la mairie de Maurepas ne nous en dit pas plus. Tout ça relève d’une étonnante précipitation sans aucune consultation malgré les affirmations: http://www.maurepas.fr/index.php/Accueil?idpage=15021&idmetacontenu=15299

Ci-dessous, nos sources:

le rapport annuel de délégataire2017 pour la ville de Plaisir et le RPQS 2016 de SQY

Pour continuer à être informé-e, inscrivez-vous à notre lettre d’informations!

 

A partir de janvier 2019, une eau plus chère mais moins calcaire

Depuis 4 ans, Maurepas pour tous, un peu tout seul, vous informe sur la question de l’eau à Maurepas.

Le 31 décembre 2018, le contrat de délégation de service public passé avec Veolia pour la distribution de l’eau sur Maurepas et Jouars Pontchartrain touche à sa fin.

A partir du 1er janvier, le SMGSEVESC à qui SQY a délégué la gestion de la distribution de l’eau pour Maurepas a confié cette distribution à Suez. Comme prévu le prix va donc augmenter. Malgré nos demandes, aucune information ne filtre pour l’instant sur les détails du contrat.

Sur la plan technique, les puits de forage de Cressay qui alimentent Maurepas vont être fermés provisoirement pour travaux afin de construire à proximité une usine de décarbonatation (pour enlever le calcaire). L’eau sera donc enfin moins calcaire à Maurepas. En attendant, Maurepas sera alimentée par l’eau décarbonatée de l’usine Suez de Flins.

Nous déplorons que ni le Maire ni le Président de l’agglomération ne communique sur ce sujet.

Retrouvez toutes les informations ici: http://www.maurepaspourtous.fr/pour-une-regie-publique-de-leau-a-maurepas/

Ajout du 13/12: interrogé par un élu d’opposition sur ce nouveau contrat, le maire a répondu ne pas être au courant de la teneur du nouveau contrat !

Nous avons reçu ceci du collectif Piscine pour tous

Le Collectif « Piscine pour Tous » vous donne rendez-vous :
▪ Mardi 11 décembre à 19h devant l’Hôtel de Ville de Maurepas
▪ Jeudi 13 décembre à 18h30 devant l’Hôtel de Ville d’Élancourt
à l’occasion de la présentation par les Maires du projet du futur Centre aquatique (bassins, équipements … et montage financier) lors de leurs Conseils municipaux respectifs.
Le projet annoncé ne présente aucune garantie :
▪ Ni sur une réelle prise en compte des besoins des usagers et des missions de Service public (avec des enjeux multiples : éducatifs, sportifs, sanitaires, sociaux, culturels…)
▪ Ni sur la configuration à terme de ce Centre aquatique, largement dans les mains du futur Concessionnaire privé qui financera la construction et l’exploitation de la piscine pour 25 ans par des prestations commerciales lucratives.
▪ Ni sur l’accessibilité pour tous : tarifs d’entrée, conditions tarifaires pour les locations de lignes d’eau (scolaires écoles/collèges/lycées, clubs, associations…)
▪ Ni sur le financement de l’opération, alourdi par la sortie de Coignières du projet, et sur lequel pèse beaucoup de flou, d’incertitudes et d’interrogations (coût total ? volume et nature des financements publics ? coût pour le contribuable ?)
Après une « concertation » a minima pendant les deux mois d’été, plus
aucun dispositif de concertation n’est prévu avec les usagers, en particulier
sur le Cahier des charges à venir.
La « Concertation » se poursuivra entre les Maires et le Concessionnaire privé. Les usagers devront, quant à eux, se contenter d’une « information »… sur papier glacé ?
Père Noël, pour que tu ne nous oublies pas, nous serons là les 11 et 13 décembre !

Réunion de concertation sur la publicité à SQY le 12 novembre

Maurepas pour tous est membre du collectif Champ libre qui regroupe les associations et les citoyen·nes souhaitant réduire l’emprise de la publicité à SQY en participant à l’élaboration du Règlement local sur la publicité de SQY qui va être voté en décembre 2019.

Nous vous incitons tous et toutes à participer à la réunion publique de concertation organisée par l’Agglo le lundi 12 novembre 2018 à 19h à la salle du conseil de SQY (ZA du Buisson de la Couldre – 4, rue des Charmes – 78190 Trappes).

La publicité dans l’espace public est actuellement encadrée par les RLP (règlements locaux de publicités) de chaque commune de l’agglomération de SQY. Plus ou moins protecteurs, ces derniers seront réglementairement parlant rendus caducs d’ici 2020, et c’est pourquoi l’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines démarre depuis le 20 septembre 2018 le processus d’écriture d’un nouveau document-cadre, appelé RLPI (règlement local de publicité intercommunal).

L’objectif affiché de la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines semble être de « limiter l’impact de la publicité extérieure et de la pollution visuelle qu’elle peut engendrer » via ce nouveau texte juridique.

Mais, plusieurs éléments montrent que le discours de surface de Grégory Garestier, maire de la commune de Maurepas et rapporteur du RLPSQY à l’échelle intercommunale, n’est pas en adéquation avec l’envie de « préserver ou améliorer la qualité du paysage de Saint-Quentin-en-Yvelines » (en témoigne la récente violation au code de l’environnement et au RLP de Maurepas de M. Garestier : https://actu.fr/ile-de-france/maurepas_78383/yvelines-ryder-cup-antipub-portent-plainte-contre-maire-maurepas_18750035.html ).

Heureusement, vous, habitant·es et usager·es de l’agglomération, vous pouvez exiger de SQY un RLPi protecteur, réduisant la place et donc l’impact des publicités sur notre santé et notre environnement ! Comment ? Et bien, c’est simple en venant à la réunion publique de concertation.

L’association RAP dépose une plainte contre M. Garestier

Dépôt de plainte à l’encontre du Maire de Maurepas pour violation du code de l’environnement

 

Saint-Quentin-en-Yvelines – 17 septembre 2018 – L’association Résistance à l’agression publicitaire (R.A.P) va porter plainte à l’encontre de Grégory Garestier (LR), maire de Maurepas, suite à une violation du code de l’environnement pour affichage sauvage.

 

Depuis plusieurs mois, les publicités annonçant la tenue de la 42ème édition de la Ryder Cup sur le territoire de Saint-Quentin-en-Yvelines envahissent nos rues ! Inquiets de voir le phénomène s’amplifier de jour en jour, et contrevenir très régulièrement à la réglementation en vigueur sur l’affichage extérieur, les membres du groupe local de R.A.P. SQY ont, à de nombreuses reprises, sollicités les élus de l’agglomération pour rétablir l’ordre. M. Garestier, maire de la commune de Maurepas, est resté sourd face à ces demandes de régularisation !

 

Les multiples demandes de retrait des deux bâches illégales détectées sur sa commune n’ont jamais été suivies d’action. Contrevenantes au code de l’environnement et au règlement local de publicité, ces publicités sont toujours présentes.

 

La suite ici

« Grégory Garestier bafoue volontairement la loi française en matière d’affichage » par l’association RAP

Communiqué de l’association Résistance à l’Agression Publicitaire (RAP)

Maurepas – 29 août 2018 – L’association Résistance à l’agression publicitaire (R.A.P) met en lumière l’inaction du Maire de Maurepas concernant le respect du Code de l’environnement en matière d’affichage.
En France, lorsqu’un règlement local de publicité (RLP) existe, c’est au maire – et non au préfet – que revient le pouvoir de police en matière d’affichage. Le représentant de la commune, assisté de ses services (urbanisme, juridique et cadre de vie) doit veiller à ce que l’affichage sauvage n’envahisse pas nos territoires.